Notre gouvernement : entre laboratoire de pensées et Cercles vicieux.

Laurent Fabius. Ministre des Affaires étrangères. Descendant d’une famille juive implantée en Lorraine, qui transforma son nom (Lion) en Fabius le 26 septembre 1808 à la suite du décret impérial de 1808 qui obligeait les Israélites à choisir un nom définitif. 

Membre du Siècle, de la Commission trilatérale, du Groupe de Bilderberg (1995), du Forum économique mondial de Davos, etc. L’affaire du sang contaminé a largement plombé la carrière de ce multi-millionnaire (son père, André Fabius, était l’un des plus grands antiquaires parisiens). Incarnation du blairisme fabien, social-démocrate mondialiste. Artisan du passage à la monnaie unique. « Nos enfants profiteront pleinement de cette construction monétaire d’anticipation (9 avril 2001). » A défendu le    «non » au Traité de Lisbonne. Longtemps adversaire de François Hollande, il a été le principal soutien de Martine Aubry lors des primaires socialistes : « Vous imaginez François Hollande président ? On rêve ! » (avril 2011).

Manuel Valls. Ministre de l’Intérieur. Fils d’un artiste peintre catalan exposé dans de multiples musées internationaux. L’absence de taxation des œuvres d’art lui évite sans doute de régler un ISF élevé. Français de fraîche date (naturalisé en 1982). A peut-être appartenu brièvement à l’Organisation communiste internationaliste (« lambertiste »), si l’on en croit À gauche de la gauche (Seuil, 2002) de Denis Pingaud, lui-même ancien militant d’extrême gauche. Membre du Siècle et du Groupe de Bilderberg. Franc-maçon, il appartient à la même loge que son ami Alain Bauer (parrain d’un de ses fils), la loge L’Infini maçonnique (Grand Orient de France). A été l’un des rares députés socialistes à se prononcer en faveur de l’envoi de soldats français en Afghanistan et pour le contrôle par la Commission européenne des budgets nationaux.

Participant régulier des dîners du Crif, orateur au congrès des Amis d’Israël en France, opposé à l’entrée de la Palestine à l’ONU. Il s’est déclaré, le 17 juin 2011, sur Radio Judaïca (Strasbourg) « lié de manière éternelle avec la communauté juive et Israël » par sa seconde épouse, la violoniste Anne Gravoin, qui est juive (cf. Actualité juive, 24 mai 2012). Il a obtenu 5,63 % des voix aux primaires socialistes pour l’élection présidentielle, avant de diriger le pôle communication de la campagne de François Hollande.

Vincent Peillon. Ministre de l’éducation Nationale. Père hors-cadre du parti communiste, dirigeant de l’Eurobank, la banque soviétique en France. Membre du Siecle. partisant du traité de Lisbonne et fédéraliste européen. Dans La Croix (6 mars 2009) il évoque sa grand-mère maternelle « juive et républicaine ». Par sa mère Françoise Baulieu, ancienne directrice de recherche à l’INSERM, il est descendant d’une longue lignée juive Alsacienne. Sa mère née Blum, à obtenu (comme son Père, son frère et sa sœur) de changer son nom en Baulieu par décret du 19 novembre 1947.

Son oncle n’est autre que le très célèbre Etienne Baulieu, ancien militant communiste, père de la pilule abortive, ancien président de l’académie des sciences. Sa tante, Suzanne Baulieu, ancienne directrice de recherches au CNRS, a épousé Mathieu de Brunhoff, fils du créateur de Babar.En première noces, Vincent Peillon a été marié avec Brigitte Sitbon (2 enfants, Salomé et Maya), professeur agrégée de philosophie, membre associé du groupe de sociologie des religions et de la laïcité (CNRS/EPHE). Sous le pseudonyme de Julie Saltiel, elle a signé, après son divorce, un étonnant roman à clés érotique, voir pornographique intitulé « la cinquantaine bien tapée ». Vincent Peillon s’est remarié avec Nathalie Bensahel, chef adjoint du service économique de Libération, puis journaliste responsable de la rubrique « mode » au nouvel observateur. Le couple a eu 2 enfants (Elie et Izaak). Tous les enfants on été élevés dans le culte mosaïque.

Christiane Taubira. Ministre de la Justice, Garde des Sceaux. Ancienne militante d’extréme gauche (anarchisme, soutien au « Black Power » union des étudiants Guyanais) Membre du parti indépendantiste Mouvement guyannais pour la décolonisation, présidente du Malwari (indépendantiste Mimi (indépendantiste), mariée en premieres noces avec Roland Delannon, dirigeant du mouvement clandestin Action révolutionnaire Caraïbe. Représentante des minorités visibles et des radicaux de gauche dont elle fut la candidate à l’élection présidentielle de 2002. Considére que l’indépendance de la Guyane est « une exigence éthique ». Favorable à la suppression des lois sur le voile islamique (rue, écoles, etc .). Premières mesures : suppression des tribunaux pour mineurs, refus de poursuivre les « jeunes » ayant brûlé des drapeaux français les soir de l’élection présidentielle (« il s’agit d’un geste de liesse pardonnable. »). A coiffé au poteau André Vallini et Bertrand Delanoé pour ce poste tres recherché.

Pierre Moscovici. Ministre de l’économie, des finances et du commerce extérieur. Isue de la haute bourgeoisie cosmopolite parisienne. Fils de la psychanalyste Marie Bomberg, signataire de l’appel des 21 contre la guerre d’Algérie et porteur de valises du FLN, et du sociologue Serge Moscovici, d’origine juive roumaine, ancien militant communiste (son propre pere, qui ne parlait que le yiddish fut un responsable du Patti Communiste roumain). Son oncle, Mandy Moscovici, fut conseiller PS et une personnalité de la communauté juive d’Ivry. Assure avoir milité des ses 10 ans et demi (!) au comité d’action lycéen de Condorcet en Mai 1968. Membre des Cercles Rouge et de la Ligue communiste révolutionnaire. Adhéré au PS en 1984 pour faire carrière. Incamation du bobo parisien : « Rarement un homme aura autant personnalisé les travers nationaux habituellement prêtés aux Frangais : arrogant, suffisant, méprisant, cassant et on en passe (Libération, 9 décembre 2000). » Favorable à l’entrée de la Turquie dans l’Union européenne.

Membre du Siècle et Young Leader de la French American Foundation 1996. Vice-président du Cercle de l’Industrie, qui regroupe les grands patrons favorables à la gauche libérale. Ce strauss-kahnien pur jus a été directeur de la campagne de Frangois Hollande lors de l’élection présidentielle. Il visait Matignon ou le Quai d’Orsay, se positionnant déjà pour les élections présidentielles futures, et n’était nullement le favori pour Bercy. Ce caméléon adoptera une ligne libérale si le Président de la République (avec lequel il a donné un cours it Sciences-Po au début des années 90) le lui demande. « Si j’ai adhéré au Parti socialiste, en tant que Juif, Frangeais et socialiste, c’est aussi en pensant a Léon Blum. »

Marisol Touraine. Ministre des Affaires sociales et de la Santé. Issue de la haute bourgeoisie parisienne. Fille du tres influent sociologue Alain Touraine, figure de l’intellocratie française.

Membre du Siècle. Mondialiste Harvard. Envoyée par le PS auprès de la Fabian Society de Londres. Ancienne Young leader (1989) de la French American Foundation. A voté pour le Traité de Lisbonne et s’est abstenue lors de la ratification du Mécanisme européen de stabilité. Ancienne de l’Institut international pour les études stratégiques et du Secrétariat général de la Défense nationale. Mariée a Michel Reveyrand (qui se fait appeler Reveyrand de Menthon), ambassadeur ‘de France au Tchad depuis 2010.

Arnaud Montebourg. Ministre du redressement productif. D’origine algérienne par sa mère, Née Leïla Ould Kadi. Marié en première noces à la meilleure aristocratie française en la personne d’Hortense de Labriffe, petite fille de Jacques de Lacretelle, fille du comte de Labriffe, banquier et financier, ancienne attachée de presse de l’UDF et membre de divers cabinets ministériels de droite. à vécu avec la journaliste Martiniquaise Audrey Pulvar. Young Leader de la French American foundation (2000). Il n’a pas participé à la ratification du Traité de Lisbonne et s’est abstenu lors de l’adoption du Mécanisme européen de stabilité. C’est lui qui a susnommé Francois Hollande << Flamby >>. Se présente comme un défenseur de la << démondialisation >>, ll obtient l7,19% aux primaires socialistes pour l’élection présidentielle de 2012.

Marylise Lebranchu. Ministre de la Réforme de l’Etat, de la décentralisation et de la Fonction publique. Elle « a le profil de l’ex-soixante huitarde très à gauche. pour ne pas dire gauchiste (Valeurs actuelles, 27 octobre 2000). » Multiplia les gaffes comme ministre de la Justice (2000-2002). A ce poste, a tenté de criminaliser les opinions non-conformistes sur lntemet, de manière à interdire les sites hostiles à l’immigration ou aux israélites. Franc-maconne (Les Freres invisibles Albin Michel , 2001). Présidente de la Fédération nationale des élus socialistes et républicains. Représentante de la branche « aubryste », c’est dans son bureau au Sénat que se réunissaient les fideles de la première secrétaire du PS.

Michel Sapin. Ministre du Travail, de l’Emploi et du Dialogue social. Issu de la grande bourgeoisie industrielle de province. Son pere, catholique de droite, fut le conseiller immobilier de Mgr Lustiger dans les amées 90. Milite dans sa jeunesse aux Comités d’action lycéens (trotskistes) au lycée Henri IV. Franc-macon sans doute du Grand Orient de France (cf. Massimo Introvigne, La Bussola, 1er février 2012). Issu de la promotion Voltaire de l’Ena avec Ségolène Royal et Francois Hollande. Membre du Siecle. Participant des dîners du Crif et des 12 heures pour l’amitié France-Israel. Membre du Groupe de Bilderberg (1992).

Ce tres proche ami de François Hollande (connu a l’école des officiers d’Angers, puis sorti de la même promotion de l’Ena que lui et qui fut son témoin de second mariage) était donné comme son ministre des Finances, de l’Economie et du Budget, après avoir été responsable du projet presidentiel de François Hollande durant la campagne présidentielle. Sa déception est sans doute tres grande. A vote le Traité de Lisbonne. Lors du Traite de Maastricht il déclare : « Maastricht apporte aux dernières années de ce siècle une touche d’humanisme et de lumière qui contraste singulièrement avec les épreuves cruelles du passé. » Marié a la Journaliste Judiciaire des Echos Valerie de Selmeville.

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